Bâtir sa stratégie

Identifier ses enjeux sectoriels

Dégager la valeur de son écosystème de parties prenantes

Construire son budget avec les programmes incitatifs

Comprendre son environnement juridique

La RSE est un aspect incontournable de la vie d’une entreprise. D’abord parce que l’adaptation aux enjeux sociaux et environnementaux est l’affaire de tous, et ensuite parce que le cout de l’inaction est toujours plus élevé.
Et comme toute construction se doit de reposer sur des fondations solides, Horeazons vous accompagne dans la mise en place d’une stratégie pensée pour rester cohérente avec votre niveau d’implication et votre métier. Toutes les entreprises font de la RSE à plus ou moins grande échelle, parfois sans en avoir conscience. Notre travail est de valoriser l’existant et de préparer l’avenir en pensant aujourd’hui l’entreprise de demain.

Bâtir sa stratégie

Identifier

Identifier ses enjeux sectoriels

Le monde change et l’entreprise change avec lui.
À beaucoup d’égards, bâtir une stratégie RSE s’avère aujourd’hui incontournable pour la plupart des organisations. Que ce soit pour améliorer son image, pour se conformer ou anticiper la législation, pour inscrire son activité dans les enjeux actuels ou plus simplement par conviction, de plus en plus d’acteurs font le choix de la durabilité.
Horeazons vous propose de mettre en place une stratégie cohérente et adaptée à votre métier avec une équipe taillée sur mesure pour votre budget et vos ambitions.

Pourquoi définir sa "raison d'être" ?

La raison permet de joindre le passé au présent ; c’est l’ADN de l’entreprise. Elle n’a pas de signification économique, mais relève plutôt de la vision et du sens. Elle permet à l’entreprise de penser son action au-delà de sa seule activité économique pour se poser la question de son impact social et de son rôle au sein de la société.
Avoir conscience de sa raison d’être, c’est se doter d’une conviction et d’une force de persuasion nouvelle qui impacte positivement toutes les parties prenantes de l’entreprise.

Comment hiérarchiser ses objectifs ?

L’impact des activités d’une organisation va dépendre d’une part de leur environnement sectoriel et d’autre part de leur niveau d’intégration d’un certain nombre de normes et de valeurs.
Il convient de mettre en place des procédés qui permettent d’évaluer les dénominateurs communs entre ces activités et de présenter différentes stratégies RSE possibles.
Si certaines actions ont un ROI très net et immédiat, d’autres doivent être pensées sur le long terme et auront des retours qui seront difficilement quantifiables.
Il faut donc répertorier et identifier les enjeux stratégiques, prévoir des axes d’amélioration et commencer par ceux ayant le meilleur rapport coût / bénéfice.

Comment estimer le ROI de mes actions ?

Une démarche RSE est transversale. Elle touche tous les pans de l’organisation et va bien au-delà d’un investissement purement financier. Elle rend les organisations pérennes, aussi bien dans leur rapport à l’environnement, à leurs parties prenantes et à leur rendement économique. Elle redessine la notion de valeur dans l’entreprise. Le ROI est une notion purement financière et chiffrable mais dans le cadre d’une démarche RSE, il convient de le prendre comme un aspect plus global de durabilité et le quantifier est l’un des challenges de chaque entreprise qui lance une démarche RSE.
Cependant, par essence une démarche RSE ne l’est que si elle est rentable et en plein d’endroit il y a matière à évaluer le retour sur investissement de la démarche. D’une part car elle permet d’avoir une connaissance plus pointue du secteur et donc de mieux maîtriser sa création de valeur et d’autre part car elle offre de nouvelles perspectives et ouvre sur des opportunités qui le plus souvent anticipent les évolutions futures du contexte économique et sociopolitique. Le ROI d’une démarche RSE dépendra des coûts opérationnels et de l’investissement initial mais il se calcule pour chaque nouvelle dynamique, le plus souvent sur le long ou moyen terme

Dégager

Dégager la valeur de son écosystème de parties prenantes

Dans un monde toujours plus interconnecté, les entreprises se trouvent confrontées de manière plus directe à leurs parties prenantes, qui recherchent plus de transparence. Tandis que les consommateurs sont de plus en plus exigeants, que la vie politique s’imprègne des enjeux liés au développement durable et que les entreprises rivalisent d’ingéniosité pour convaincre les meilleures ressources de rejoindre leurs équipes, les écosystèmes de parties prenantes s’étoffent et se complexifient.

Si cela peut être perçu comme une menace, notamment lorsque les moindres actions des entreprises sont scrutées et commentées sur les réseaux sociaux, de nombreuses opportunités s’en dégagent pour rendre l’entreprise plus résiliente. Horeazons est à même de canaliser cette complexité pour y faire émerger de la valeur ajoutée pour l’entreprise. Nous vous accompagnons pour l’intégration de nouveaux systèmes de gouvernance, la conception de laboratoires d’innovation sociale, la réponse aux enjeux d’acceptabilité sociale des projets ou encore dans l’analyse des risques et signaux faibles.

Comment mieux connaitre ses parties prenantes ?

Les parties prenantes sont des acteurs (individus, organisations, groupe) concernés ou impactés dans un périmètre donné par l’organisation étudiée. L’intérêt pour ces acteurs s’est accru depuis une quarantaine d’années pour acquérir une importance fondamentale dans les prises de décisions de l’organisation. Face à l’afflux croissant d’informations et à la multiplication des parties prenantes dans un contexte d’inter connectivité, les entreprises ont besoin de les mesurer et de les valoriser.

Afin de déterminer les parties prenantes d’une entreprise, une des étapes est de les cartographier au travers d’un outil pertinent (matrice de matérialité, mindmap,…) à partir de la représentation que s’en fait l’organisation. Cela permet de les recenser en leur donnant des échelles de valeur, en fonction des enjeux de l’entreprise, d’optimiser la communication en fonction de leurs caractéristiques, d’étudier leurs synergies et interactions.

Pourquoi identifier leurs besoins ?

L’approche RSE d’identification des besoins des parties prenantes va se différencier d’une approche classique dans le sens qu’elle ne s’attache pas à connaître les attentes et les conditions des seuls clients mais de tout l’écosystème de parties prenantes que compose son activité. Elle va donc utiliser ce levier pour se différencier de la concurrence et ajouter de la pertinence à son activité. L’entreprise affine ainsi sa connaissance des attentes du marché, limite les risques et consolide l’engagement des parties prenantes dans ses activités.
Evaluer ses parties prenantes permet de les catégoriser selon leur pertinence, leurs intérêts et leur niveau d’implication. L’entreprise sera alors à même d’anticiper leurs revendications, leur capacité de nuisance ou leur propension à améliorer la performance de l’entreprise.

L’identification des besoins des parties prenantes passe par la mise en place d’outils de dialogue et de concertation, afin de matérialiser leurs enjeux dans des outils de suivi et d’aide à la décision.

Pourquoi les impliquer d'avantage ?

Le pouvoir d’influence des parties prenantes, s’il est organisé et construit, est fort. Ils peuvent s’opposer, faire pression ou soutenir les activités d’une société en fonctions de leurs intérêts. La multiplicité de leurs leviers doit donc être identifiée et prise en considération.
Les impacts environnementaux et sociétaux d’une organisation sont scrutés et évalués en permanence par les parties prenantes. Les impliquer permet de s’assurer que leur action sera dirigée en faveur de l’entreprise. Pour cela elles doivent pouvoir percevoir leur impact sur l’activité de la société et se sentir prise en compte.

L’enjeu est donc de trouver les leviers et les outils qui permettent de monitorer la valeur de la collaboration avec les parties prenantes
C’est à la fois une garantie de bon fonctionnement, ainsi qu’un limitateur de risques liés à l’image, ou à différents types de contentieux juridiques

Construire

Construire son budget avec les programmes incitatifs

La RSE est reconnue et encouragée par les pouvoirs publics. A ce titre, toute entreprise désireuse d’initier une transition peut faire valoir ses droits à bénéficier d’aides financières ou d’allègement d’impôts selon les moyens qu’elle engage. On retrouve des programmes :

  • Locaux, grâce aux agences locales de l’ADEME, les agences de l’eau, la DIRECCTE ou encore la DREAL
  • Nationaux, via L’ADEME (FIDEME, FOGIM, Fonds de chaleur …), l’OSEO ou encore l’Agence nationale de la recherche,
    mais aussi européens

Horeazons vous aide à sélectionner les meilleurs programmes et à réaliser l’ensemble des démarches relatives à l’obtention de ces programmes de soutiens.

Quel budget pour la RSE ?

Le budget à allouer à une stratégie RSE dépend de l’ambition, des objectifs ou encore de la capacité de financement de l’entreprise. Une démarche RSE n’implique pas de budget défini et peut commencer sans investissements majeurs. Certaines entreprises qui portent des démarches RSE d’envergure n’allouent tout simplement pas de budget, préférant décider au cas par cas, au fur et à mesure de l’avancée stratégique. D’autres allouent des budgets pouvant aller jusqu’à plusieurs millions d’euros. Dans le cadre d’une stratégie efficace, il convient d’évaluer annuellement les engagements financiers principaux des actions qui soutiendront les axes stratégiques dans l’année à venir afin de rendre la démarche la plus cohérente possible avec le contexte économique.

Quelles possibilités de financement ou d’optimisation mises en place pour les transitions RSE ?

Les dispositifs fiscaux, l’ADEME, les prêts avantageux, les Chambres de Commerce… sont autant de leviers qui permettent de financer l’élaboration de sa démarche RSE. Ces démarches amènent souvent des niveaux de compétitivité plus élevé à moyen et long terme. Certains sont restrictifs, d’autres cumulables, avoir un aperçu général de ces programmes permet d’adapter sa démarche et son budget pour gérer au mieux sa transition.

A quel programme puis-je prétendre ?

Certains programmes sont exclusifs à certains types d’entreprises. Par exemple, certains sont réservés aux TPE, d’autres aux PME. Certains dépendent de de votre implantation territoriale ou encore de votre secteur d’activité.

Enfin, certaines aides particulières sont octroyées uniquement à certains types de projets (rénovation des bâtiments, gestion des déchets …) et vous fixent certains objectifs.
Les dossiers pour répondre à ces types de programmes sont parfois techniques et exigeants et nécessitent une expertise technique.

Horeazons vous accompagne dans le choix, l’élaboration des dossiers ou dans la mise aux normes pour pouvoir bénéficier de ces programmes incitatifs et ainsi pour développer votre impact positif à moindre cout.

Comprendre

Comprendre son environnement juridique

La législation en matière de développement durable est l’une des plus dynamiques que l’on peut rencontrer aujourd’hui. Que ce soit au niveau européen, français ou même local, la réglementation en RSE est chaque jour plus présente.
Loi PACTE, Loi sur le devoir de vigilance, Loi sur la transition énergétique pour la croissance verte, RGPD … sont autant de règlementations qui contraignent les entreprises à s’adapter à une nouvelle réalité et à responsabiliser leurs démarches.
Si toutes ces lois ne sont pas contraignantes, elles n’en sont pas moins essentielles pour comprendre et anticiper la direction vers laquelle le législateur souhaite entrainer les entreprises. S’y conformer et les anticiper est la meilleure manière d’effectuer une transition douce vers une nouveau modèle de société.

Dispositifs réglementaires depuis 2001 favorisant la RSE

Quelle dynamique pour la règlementation RSE ?

La RSE s’inscrit dans une réglementation de plus en plus intense. L’information autour de la RSE se densifie et il est essentiel d’y établir des repères. Le cadre législatif et réglementaire français et européen concernant la RSE s’est progressivement enrichi, notamment depuis la première loi française relative aux nouvelles régulations économiques (« loi NRE») du 15 mai 2001. La plupart du temps, ces textes de lois concernent et mobilisent les grandes entreprises qui disposent des moyens pour se les approprier. L’enjeu et la complexité de ces textes sont difficilement assimilables et nécessitent une expertise sectorielle. Ils peuvent être des accélérateurs de croissances très utiles pour les TPE et PME.

Comment connaitre et rester à jour sur la réglementation en vigueur ?

Toute législation contraignante applique un certain délai avant d’être mise en place dans les entreprises pour laisser à ces dernières le temps de se préparer. Elles sont généralement rendues publiques bien en amont de leur mise en application. Elles restent cependant à étudier avant d’étendre son activité dans un nouveau secteur ou avant une implantation sur un nouveau territoire.

Il existe également des législations incitatives. Généralement peu connues des entreprises, leur compréhension permet une maitrise des couts et l’obtention de plusieurs avantages fiscaux.

Que gagne une entreprise à anticiper sur la législation ?

Anticiper la législation permet de prendre plus rapidement la mesure des changements à apporter et des meilleurs moyens de les mettre en place. Cela permet également une transition douce et étalée qui ne viendra pas provoquer une opposition de la part des collaborateurs devant changer leurs méthodes de travail et leurs habitudes.
En effet, si la mise en place d’une stratégie permettant le respect de la règlementation RGPD s’est faite rapidement dans certaines entreprises réactives, d’autre se sont précipitées au dernier moment avant les délais légaux et se sont ainsi heurtées à la resistance de leurs salariés, ainsi qu’au risque de voir la transition mal réalisée, s’exposant ainsi à des amendes, voire à des pertes de données cruciales.